JJ Goldman

Patrick Lavoine
Lettre en vingt chansons.
Aujourd'hui : Jean-Jacques Goldman.

Depuis que tu es partie, "je marche seul", et je repense sans cesse "à nos actes manqués".

"Comme toi", j’en ai assez de vivre "la vie par procuration" et je ne veux qu’une chose désormais, t’emmener "au bout de mes rêves", de nos rêves.

"Encore un matin" de plus à me réveiller le cœur serré après avoir "veiller tard" à feuilleter les pages de notre vie.

Mais "puisque tu pars", puisque tu penses que c’est une "bonne idée" et que "c’est ta chance" d’aller "là-bas", "je te donne" toute ma force mais ne crois pas que l'herbe soit plus verte ailleurs, non, "pas toi".

Le changement, "s’il changeait la vie" à coup sûr, cela se saurait.

"Sache que je" te resterai fidèle, "il suffira d’un signe" de ta part pour que je le saisisse et le transforme en nouveau départ.

"Compte pas sur moi" pour t’oublier, tu es de ma "famille" et notre amour ne sera jamais "confidentiel".

"On ira" où tu voudras.
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